2018

En 2018, 45 000 festivaliers ont profité des Nuits secrètes. Parmi eux, 5 000 Belges. « On sait qu’on a un axe de progression à ce niveau-là », reconnait Olivier Connan. Plus que bien servis chez eux, nos voisins passent volontiers la frontière pour découvrir Aulnoye-Aymeries et assister « au plus belge des festivals français ». «J’y suis venue il y a quelques années, explique Marie Frankinet, journaliste à la radio musicale Pure FM. Et c’est vrai qu’on s’y sentait comme à la maison. Dans l’esprit, je trouve qu’il ressemble un peu aux Ardentes. Il y a quelque chose de très cool, qu’on pourrait avoir chez nous. » Habituée à parcourir les festivals belges tout l’été à la radio, la journaliste souligne le caractère singulier des Nuits secrètes,organisées en pleine ville. Sur la programmation, «on voit qu’il y a un vrai travail de fait. Un Nekfeu joue chez nous sur des grandes jauges. »